Auteur/autrice : Faris Bouchaala

  • Dacia Jogger : le SUV malin qui se transforme en camping-car

    Dacia Jogger : le SUV malin qui se transforme en camping-car

    Dacia surprend encore. La marque roumaine, déjà connue pour son rapport qualité-prix, lance un kit inédit qui permet de transformer le Jogger en véritable camping-car. Le système, baptisé Sleep Pack, s’installe en quelques minutes. Il suffit de rabattre les sièges arrière pour que l’espace se déploie presque tout seul.

    Une marque qui mise sur l’accessibilité

    Dans un marché où les prix automobiles ne cessent de grimper, Dacia reste fidèle à sa philosophie : offrir des modèles abordables sans sacrifier la qualité. Le succès de la Sandero, devenue la voiture la plus vendue en Europe, illustre parfaitement cette stratégie. Le Duster a lui aussi confirmé la capacité de Dacia à proposer des SUV robustes et économiques. Aujourd’hui, c’est au tour du Jogger de prendre la lumière, grâce à une innovation qui séduit les amateurs de voyages.

    Le Jogger, entre polyvalence et efficacité

    Avec ses 4,55 m de long, 1,78 m de large et 1,67 m de haut, le Jogger offre déjà une habitabilité intéressante pour cinq passagers. Côté motorisation, le choix reste large : essence, GPL ou version Full Hybrid. Le bloc d’entrée, un 3 cylindres 1.0 litre de 110 ch, permet d’atteindre 183 km/h tout en affichant une consommation moyenne de 5,6 l/100 km. À partir de 18 250 €, il se positionne comme l’un des modèles familiaux les plus accessibles de sa catégorie.

    Sleep Pack : la modularité poussée à l’extrême

    Le véritable atout vient du Sleep Pack. Installé à l’arrière, ce module remplace le compartiment à bagages par une unité spécialement conçue pour accueillir matelas et accessoires propres au camping-car. Une fois déployé, le Jogger se transforme en espace nuit fonctionnel, pensé pour les escapades improvisées.

    Le prix reste dans la logique de la marque : 2 000 € supplémentaires suffisent pour accéder à cette option. Une somme modeste au regard des possibilités offertes. Dacia démontre ainsi qu’il est possible d’innover sans faire exploser la facture.

    Une stratégie offensive

    Avec cette solution, Dacia renforce son image d’acteur avant-gardiste dans l’univers automobile populaire. Là où beaucoup de constructeurs misent sur des équipements coûteux, la marque choisit la simplicité, l’ingéniosité et l’accessibilité. Le Jogger ne devient pas seulement une familiale polyvalente, mais aussi une compagne idéale pour l’aventure.

  • Audi au Salon de Lyon 2025 : Première française du nouveau Audi Q3 e-hybrid

    Audi au Salon de Lyon 2025 : Première française du nouveau Audi Q3 e-hybrid

    Audi prépare un rendez-vous majeur à Lyon. Dès le 23 septembre, la marque présentera en première nationale le nouveau Audi Q3 e-hybrid, un SUV compact de 272 chevaux qui combine performances et électrification. Cette participation, orchestrée par Jean-Baptiste Esteve, nouveau patron des ventes, s’appuie sur le soutien des distributeurs locaux Audi ByMyCar et Audi Central Auto.

    Le stand promet un panorama complet : véhicules thermiques, hybrides rechargeables et 100 % électriques. Une immersion qui illustre le slogan « le meilleur des trois mondes ».

    Un salon devenu incontournable pour l’industrie automobile

    Le Salon Automobile de Lyon gagne chaque année en importance. Pour Audi France, il constitue une vitrine stratégique et un lieu d’échanges privilégié avec les clients, la presse et les partenaires. La présence de la marque s’inscrit dans un contexte de mutation profonde : électrification accélérée, attentes des consommateurs en évolution, concurrence plus vive que jamais.

    Le stand Audi proposera donc bien plus qu’une simple exposition. Les visiteurs auront accès à un centre d’essai pour prendre le volant des modèles phares, encadrés par des experts produit. Cette démarche traduit la volonté de la marque d’associer innovation technologique et expérience client directe.

    Jean-Baptiste Esteve, nouveau visage du commerce Audi France

    L’édition 2025 du salon marque également la première apparition officielle de Jean-Baptiste Esteve. Nommé à la tête du commerce le 1er août, il intègre le comité de direction après plus de vingt ans d’expérience dans l’automobile, au sein d’Audi France et du groupe Volkswagen.

    Son expertise du terrain et sa connaissance du réseau en font un pilier pour piloter la transformation commerciale. À Lyon, il suivra de près les performances des équipes et rencontrera les distributeurs, dans un climat où chaque détail compte.

    La direction d’Audi France mobilisée

    La soirée d’inauguration rassemblera le comité de direction autour de Robert Breschkow, Directeur Général Audi France. La marque insiste sur le rayonnement national offert par l’événement, avec la possibilité de rencontrer journalistes, clients et prospects.

    « Lyon est devenu un temps fort du calendrier automobile en France. Nous y présenterons le nouveau Audi Q3, référence du segment, ainsi que l’ensemble de notre gamme. Elle incarne notre stratégie : offrir le meilleur des trois mondes, du 100 % électrique aux motorisations traditionnelles » explique Robert Breschkow.

    Les modèles exposés et disponibles à l’essai

    Audi tiendra sa promesse d’un stand représentatif. Côté thermique, l’Audi A1 TFSI sera mise en avant. Pour les hybrides rechargeables, plusieurs références : A3 TFSI e, A5 e-hybrid et Q5 e-hybrid. La gamme électrique ne sera pas en reste avec les Q4 e-tron, Q6 Sportback e-tron et S6 Avant e-tron.

    En parallèle, un large choix d’essais routiers sera proposé : Audi e-tron GT, A6 e-tron, Q6 e-tron, Q4 e-tron, A1 TFSI, A3 TFSI e, Q2, A5 e-hybrid, Q5 e-hybrid, ainsi que le tout nouveau Q3 e-hybrid.

    Première française : Audi Q3 Sportback e-hybrid 272 ch

    Le grand moment de Lyon sera la présentation de le nouveau Audi Q3 Sportback e-hybrid. Dévoilée en juin lors de son reveal mondial, puis exposée à l’IAA de Munich début septembre, elle fait désormais son entrée en France.

    Son design renouvelé, ses technologies embarquées et sa motorisation hybride rechargeable de 272 ch confirment sa position de best-seller dans le segment premium compact. Elle offre 120 km d’autonomie électrique grâce à une batterie de 25,7 kWh (19,7 kWh nets). Sa compatibilité avec la recharge rapide en DC 50 kW permet de passer de 10 à 80 % en 30 minutes. Une recharge en courant alternatif complète l’expérience avec un temps de 2h30.

    Ce lancement s’inscrit dans la dynamique des politiques publiques. Si les aides de la loi de finances 2025 ciblent les véhicules 100 % électriques, les hybrides rechargeables émettant moins de 50 g de CO2 bénéficient encore d’avantages fiscaux, notamment pour les flottes d’entreprise.

    Une invitation presse pour marquer l’événement

    Audi donne rendez-vous aux journalistes dès l’après-midi du 23 septembre sur son stand, puis en soirée lors d’un cocktail VIP animé par les distributeurs lyonnais. L’équipe dirigeante – Robert Breschkow, Elise Remark, Jean-Baptiste Esteve et Grégory Gouillardon – sera présente pour accompagner ce moment fort.

    Le Salon Automobile de Lyon 2025 s’annonce comme une étape décisive pour Audi France, qui allie innovation, stratégie produit et proximité avec le public.

  • Dacia Duster Cargo 2025 : le SUV baroudeur devient utilitaire

    Dacia Duster Cargo 2025 : le SUV baroudeur devient utilitaire

    Dacia transforme son modèle emblématique. Le constructeur lance une version Cargo du Duster, pensée pour les professionnels et homologuée en utilitaire léger. L’objectif : offrir un véhicule robuste, polyvalent et accessible, tout en conservant l’ADN baroudeur du SUV.

    Un Duster converti en usine

    Le Duster Cargo n’est pas une adaptation improvisée. La transformation se fait directement en usine, sous garantie constructeur. Les sièges arrière disparaissent, remplacés par un plancher plat et renforcé. Une cloison grillagée sépare l’espace de chargement de l’habitacle. Quatre crochets d’arrimage, un cache amovible et des vitres arrière opaques complètent l’aménagement.

    L’espace utile atteint 1 149 litres pour une charge maximale de 430 kg. Un volume conséquent pour un véhicule compact, qui conserve sa garde au sol de 217 mm en version 4×4.

    Deux motorisations électrifiées

    Sous le capot, Dacia propose deux options modernes. D’abord un mild hybrid 130 associé à la transmission intégrale et au nouveau système Terrain Control. Il offre cinq modes de conduite adaptés aux conditions et bénéficie d’une aide électrique pour réduire consommation et émissions d’environ 10 %.

    Ensuite, le hybrid 155 introduit récemment sur la gamme. Cette version combine un moteur essence de 109 ch avec deux moteurs électriques et une batterie de 1,4 kWh. Grâce à une boîte automatique électrique sans embrayage, elle permet de rouler souvent en mode 100 % électrique en ville, surtout au démarrage.

    Un aménagement simple et robuste

    Le Duster Cargo reste fidèle à la philosophie Dacia : pratique et sans superflu. L’unique finition Expression intègre déjà un équipement généreux. À l’extérieur, on trouve des jantes alliage de 17 pouces, des barres de toit, une signature lumineuse LED et des protections en Starkle®, un plastique recyclé à 20 %.

    L’habitacle reçoit la climatisation, des vitres électriques, un frein de parking électrique, un écran conducteur numérique de 7 pouces et un système multimédia Media Display de 10,1 pouces compatible Apple CarPlay et Android Auto.

    Sécurité et aides à la conduite

    Comme les autres modèles de la gamme, le Duster Cargo embarque une panoplie complète d’assistances. Six airbags, régulateur de vitesse, caméra de recul, alerte d’inattention, maintien dans la voie et freinage d’urgence automatique font partie de l’équipement standard.

    Prix et disponibilité

    Le Duster Cargo est proposé en trois coloris : blanc Glacier, noir Perle ou gris Shadow. Les prix débutent à 22 995 £ HT pour le mild hybrid 130 4×4 et à 23 595 £ HT pour le hybrid 155. Les premières livraisons clients sont attendues avant la fin de l’année.

    Avec cette déclinaison Cargo, Dacia élargit son offre. Le SUV star de la marque se transforme en véritable partenaire de travail. Un véhicule taillé pour les routes difficiles comme pour les charges lourdes, qui combine praticité, efficacité et coût maîtrisé.

  • Rappel urgent : Hyundai i10 – Risque de fuite de carburant et incendie

    Rappel urgent : Hyundai i10 – Risque de fuite de carburant et incendie

    Les autorités européennes et françaises déclenchent une alerte. La Hyundai i10, citadine bien connue pour sa taille compacte et sa sobriété, présente un défaut critique. Le système RAPEX, chargé de surveiller les produits dangereux, a confirmé le rappel. L’objectif est simple : éviter des accidents aux conséquences dramatiques.

    Un modèle sous haute surveillance

    Hyundai fabrique l’i10 en Corée du Sud. Cette petite voiture, très populaire en ville, séduit par sa maniabilité et sa consommation réduite. Mais derrière cette réputation rassurante se cache une faille technique sérieuse.
    Les véhicules visés par l’alerte sont ceux répertoriés entre le 2 octobre 2024 et le 25 octobre 2025. La référence technique indiquée est e52007/460090*09 (AC3).

    Tout propriétaire doit vérifier si son exemplaire est concerné. Les autorités insistent : la vigilance est indispensable.

    Une installation défectueuse, un danger immédiat

    Le problème se situe dans la conduite d’alimentation en carburant. Mal fixée, elle peut se détacher sans prévenir. Le carburant, alors, s’écoule directement dans le compartiment moteur.

    Une fuite de ce type n’a rien d’anodin. Le liquide peut entrer en contact avec des pièces encore brûlantes après un trajet. Le risque d’inflammation devient alors très élevé. Le scénario redouté est celui d’un véhicule qui s’embrase en circulation. Une menace évidente pour le conducteur, les passagers et les autres usagers de la route.

    Hyundai reconnaît la gravité du défaut et a déclenché la procédure de rappel. L’objectif : corriger ce vice avant qu’il ne provoque un drame.

    Que faire si vous possédez une Hyundai i10 concernée ?

    Pas de panique, mais pas de temps à perdre non plus. Les propriétaires doivent contacter leur concessionnaire Hyundai sans attendre. Le garage vérifiera l’appartenance du véhicule au lot incriminé, puis effectuera gratuitement la réparation ou le remplacement de la pièce.

    En France, la plateforme officielle Rappel Conso (DGCCRF) relaie l’information. Elle met aussi à disposition un formulaire via Signal Conso, permettant aux consommateurs de signaler un véhicule défectueux encore en vente. Les professionnels disposent quant à eux d’une affichette récapitulative.

    Un rappel inscrit dans une surveillance européenne renforcée

    Le cas de la Hyundai i10 ne reste pas isolé. Le système RAPEX enregistre chaque année des centaines d’alertes. En 2024 et 2025, des rappels concernent aussi bien des problèmes de freins que des défaillances électroniques. La fiche technique de cette alerte porte la référence SR/03149/25.

    Ce mécanisme montre la volonté européenne de protéger les automobilistes. Un rappel, loin d’être une sanction, reste une mesure de précaution. Le constructeur, ici Hyundai, prend en charge les réparations et assure la sécurité des usagers.

    La sécurité avant tout

    Les rappels automobiles rappellent que la vigilance doit rester permanente. Chaque signalement, chaque procédure, sert à protéger conducteurs et passagers. Les automobilistes possédant une Hyundai i10 sont donc invités à agir rapidement.

    La sécurité routière n’a pas de prix. Avec une réaction rapide et une réparation adaptée, le danger s’écarte. Grâce aux systèmes d’alerte européens, nous roulons plus sereinement.

  • Jaguar Land Rover paralysé par une cyberattaque d’ampleur inédite : ses usines à l’arrêt depuis le 1er septembre

    Jaguar Land Rover paralysé par une cyberattaque d’ampleur inédite : ses usines à l’arrêt depuis le 1er septembre

    Depuis le 1er septembre, Jaguar Land Rover ne produit plus un seul véhicule. Les usines sont silencieuses, les chaînes immobiles. L’explication ne vient pas d’une grève, ni d’un problème logistique, mais d’une attaque informatique d’une ampleur inédite. Les systèmes de gestion ont été touchés de plein fouet, forçant le constructeur à suspendre toutes ses opérations industrielles. La reprise n’interviendra pas avant le 24 septembre, selon le calendrier provisoire communiqué.

    Une attaque revendiquée, des usines à l’arrêt mondial

    Le groupe à l’origine de l’attaque, déjà responsable du piratage de Marks & Spencer, a revendiqué l’action. Les conséquences se révèlent massives : production gelée dans tous les sites, commandes de pièces bloquées, concessionnaires pénalisés. L’effet domino atteint toute la chaîne.

    David Bailey, spécialiste en économie industrielle, chiffre les pertes quotidiennes à environ 5 millions de livres sterling. Une estimation qui souligne la dépendance extrême de l’automobile à l’outil numérique. Ce mercredi, Jaguar Land Rover a pour la première fois publié un communiqué officiel, confirmant la prolongation de l’arrêt.

    « Nous avons prolongé la suspension actuelle de la production jusqu’au mercredi 24 septembre », peut-on lire dans le texte daté du 16 septembre. « Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’enquête judiciaire en cours et prépare la reprise progressive de nos opérations mondiales. Nous regrettons profondément les perturbations causées et continuerons à informer nos partenaires. »

    Des milliers d’emplois suspendus

    Derrière l’arrêt brutal, des milliers de salariés se retrouvent en chômage technique. La direction de JLR cherche à obtenir du gouvernement un mécanisme de chômage partiel, inspiré de celui appliqué durant la pandémie. L’objectif est clair : éviter une casse sociale et maintenir les compétences jusqu’à la reprise.

    La situation pèse aussi sur les sous-traitants. Andy Palmer, ex-PDG d’Aston Martin, prévient : « La première semaine, on absorbe les pertes. La deuxième, on réduit les effectifs. Les licenciements ont déjà commencé. » Ses propos traduisent une inquiétude partagée par toute la filière.

    Un choc qui devient politique

    Le débat dépasse désormais le cadre industriel. Liam Byrne, président de la commission parlementaire des Affaires et du Commerce, alerte sur les risques systémiques. Selon lui, la crise menace de transformer un accident temporaire en dommages durables :

    « Ce qui a débuté dans quelques systèmes informatiques atteint maintenant toute la chaîne d’approvisionnement. Nous ne pouvons pas laisser un pilier de notre industrie manufacturière s’effondrer pour des raisons hors de son contrôle. »

    Le syndicat Unite partage cette urgence. Sa secrétaire générale, Sharon Graham, appelle à une réaction immédiate : « Des milliers de travailleurs de la chaîne d’approvisionnement voient leur emploi menacé. Les ministres doivent instaurer un chômage partiel pour protéger les emplois et préserver les savoir-faire, le temps que JLR se relève. »

    Une alerte pour toute l’industrie

    Au-delà de JLR, l’affaire révèle une réalité brutale : quelques serveurs compromis suffisent à bloquer un géant mondial. L’industrie, plus que jamais connectée, se découvre vulnérable. Les pertes s’accumulent, la confiance s’effrite, les sous-traitants tremblent. Pour Jaguar Land Rover, le choc est immédiat. Pour le secteur entier, une question persiste : comment renforcer la cybersécurité pour que l’arrêt d’un système n’entraîne plus l’arrêt d’un monde ?

  • BMW prolonge son partenariat avec Carlos Alcaraz, numéro un mondial du tennis

    BMW prolonge son partenariat avec Carlos Alcaraz, numéro un mondial du tennis

    BMW confirme son engagement dans le tennis international en renouvelant son partenariat avec Carlos Alcaraz, jeune champion espagnol et figure dominante de l’ATP. L’alliance, désormais inscrite dans la durée, s’appuie sur une relation solide où la performance sportive se conjugue avec les valeurs d’innovation et d’excellence de la marque allemande.

    Le tennis, pilier de la stratégie sportive de BMW

    Depuis près de quarante ans, BMW s’investit dans le tennis. L’histoire a débuté en 1987 avec le BMW Open de Munich, tournoi qui reste aujourd’hui un rendez-vous majeur, récemment promu ATP 500. Cette fidélité illustre une stratégie claire : associer l’image de BMW à des compétitions prestigieuses et à des moments uniques du sport. L’implication ne se limite pas à l’Allemagne. La marque soutient également les Masters 1000 d’Indian Wells et de Rome, ainsi que l’ATP 500 de Vienne, confirmant un rôle international fort.

    Uwe Dreher, Vice-Président Marketing BMW Europe, insiste sur l’importance de ce choix :

    « Le tennis tient une place centrale dans notre portefeuille de sponsoring. Poursuivre l’aventure avec Carlos Alcaraz est une évidence. Sa passion et son exigence résonnent avec nos valeurs. Ensemble, nous voulons créer des instants mémorables, capables de rapprocher le sport et nos clients. »

    Alcaraz, la jeunesse au sommet du tennis mondial

    Carlos Alcaraz incarne déjà l’histoire. À 22 ans, il cumule six titres du Grand Chelem et s’impose comme l’un des joueurs les plus marquants de sa génération. Début septembre, il a remporté l’US Open, reprenant la première place mondiale, conquise pour la première fois en 2022 à seulement 19 ans.

    Reconnaissant envers BMW, le champion espagnol confie :

    « Je suis fier de continuer avec la famille BMW. Leurs valeurs – honnêteté, innovation, excellence et joie – correspondent aux miennes. Je leur suis reconnaissant du soutien accordé avant même mon premier Grand Chelem. J’espère que nous vivrons encore de nombreux succès ensemble. »

    Une alliance fondée sur des valeurs partagées

    La stratégie de BMW repose sur la recherche constante de performance et d’innovation. Alcaraz, avec sa détermination et son énergie, symbolise parfaitement cet esprit. Le partenariat dépasse donc le simple cadre sportif : il devient un récit commun où jeunesse, ambition et excellence se rejoignent.

    Ce lien fort entre une marque premium et un athlète d’exception confirme que le tennis demeure un axe majeur du marketing sportif de BMW. Avec Carlos Alcaraz, la marque allemande associe son image à une personnalité charismatique, capable de rassembler un public mondial et de renforcer la dimension émotionnelle de son engagement.

  • Dacia Duster rappelé pour un défaut de freinage, Peugeot et Citroën également concernés

    Dacia Duster rappelé pour un défaut de freinage, Peugeot et Citroën également concernés

    Un nouveau rappel frappe le marché automobile français. Cette fois, il concerne le Dacia Duster de troisième génération, produit entre le 31 octobre et le 2 novembre 2024. En cause : un problème lié au système de freinage, suffisamment sérieux pour déclencher une procédure nationale.

    Une alerte officielle de Rappel Conso

    L’information provient du site gouvernemental Rappel Conso, qui détaille la nature de l’anomalie et la liste des modèles touchés. Le problème concerne uniquement la version Pays Grand Froid, assemblée sur une période très courte.

    Les véhicules rappelés portent l’homologation e192007/460026*25. Leurs numéros de série (VIN) s’échelonnent entre UU1DJF01873831179 et UU1DJF01873815578. Ces références, visibles sur la carte grise, permettent aux propriétaires de vérifier si leur Duster est concerné.

    Dacia invite les clients touchés à contacter rapidement leur concessionnaire. L’opération sera bien entendu prise en charge, comme le prévoit toute procédure de rappel officiel.

    Un capteur de frein mal positionné

    À l’origine du défaut, on retrouve le capteur de position de l’actionneur du frein de stationnement. Placé à un mauvais angle, il peut empêcher le verrouillage correct en position « P ». Résultat : lors de l’appui sur le bouton, le frein risque de rester bloqué ou de ne pas se verrouiller complètement.

    Le danger augmente dans certaines conditions : moteur éteint, ceinture détachée ou portière ouverte. Ces situations multiplient la probabilité d’un blocage involontaire, d’où l’urgence de la correction.

    Rappel Conso précise cependant que le frein de stationnement assisté (APB) reste fonctionnel. Le véhicule peut donc être immobilisé, mais cette précision ne dispense pas d’une intervention rapide.

    Une opération préventive et gratuite

    Comme toujours en cas de rappel, l’objectif est clair : supprimer tout risque, même rare, avant qu’il ne provoque un accident. Le correctif consiste à repositionner ou remplacer le capteur incriminé.

    L’intervention est gratuite et réalisée en concession. Les propriétaires reçoivent, ou ont déjà reçu, une notification officielle. Le passage en atelier est fortement recommandé, car la pièce incriminée touche à la sécurité essentielle du véhicule.

    Peugeot et Citroën également concernés

    Le même jour, Peugeot et Citroën ont annoncé une vaste campagne portant sur 22 modèles. Parmi eux, plusieurs best-sellers : Peugeot 308, Citroën C3, C4, C5 et le fourgon Berlingo.

    Cette fois, le défaut ne concerne pas la sécurité mais les émissions polluantes. Selon les autorités, certains véhicules rejettent trop de gaz en raison d’une température trop basse des gaz d’échappement, empêchant le convertisseur catalytique de fonctionner correctement. Résultat : une dépollution insuffisante et un impact environnemental supérieur aux normes.

    Des rappels de plus en plus fréquents

    En Europe, les rappels automobiles se multiplient depuis plusieurs années. Ils portent aussi bien sur des systèmes de sécurité — freinage, direction, airbags — que sur des éléments liés aux normes environnementales.

    En France, la plateforme Rappel Conso joue un rôle central. Elle centralise les alertes, informe les automobilistes et leur permet de vérifier rapidement si leur véhicule figure sur la liste.

    Un coup dur pour l’image du Duster ?

    Le Dacia Duster, SUV compact parmi les plus vendus en Europe, voit son image fragilisée. Même si le rappel concerne une série très limitée, l’affaire peut ternir une réputation construite sur la fiabilité et le rapport qualité-prix.

    Mais ce type d’opération illustre aussi la rigueur des constructeurs. En agissant vite, Dacia montre son engagement en matière de sécurité et limite le risque d’accident. Aujourd’hui, les rappels sont davantage perçus comme une mesure préventive que comme un aveu de faiblesse.

    Vigilance pour les automobilistes

    Pour les propriétaires, le message est simple : si leur Duster a été produit entre le 31 octobre et le 2 novembre 2024, une visite en concession est impérative. Vérifier le VIN reste le moyen le plus sûr de confirmer l’implication du véhicule.

    En parallèle, l’alerte concernant Peugeot et Citroën rappelle que l’ensemble de l’industrie automobile reste soumis à des contrôles stricts et à des ajustements permanents.

    Entre sécurité et environnement, les rappels reflètent une réalité : une industrie en pleine mutation, où chaque défaut, même mineur, doit être corrigé sans délai.

  • Mercedes-Benz lance « Next Level Production » : une révolution industrielle pour l’offensive produit la plus ambitieuse de son histoire

    Mercedes-Benz lance « Next Level Production » : une révolution industrielle pour l’offensive produit la plus ambitieuse de son histoire

    Mercedes-Benz s’apprête à écrire une nouvelle page de son histoire. Le constructeur allemand prépare une offensive sans précédent : plus de quarante modèles seront introduits au sein de son réseau de production sur trois continents, dans les trois prochaines années. Cette stratégie, baptisée « Next Level Production », repose sur un socle clair : numérisation, automatisation et flexibilité. Objectif : rendre les usines plus efficaces, plus résilientes et plus durables.

    Le GLC électrique et la Classe C EQ ouvrent le bal

    L’offensive débutera à Brême et Kecskemét. Deux sites appelés à donner le ton. D’un côté, le nouveau Mercedes GLC électrique, premier modèle Core basé sur l’architecture MB.EA. De l’autre, la future Classe C dotée de la technologie EQ. Les calendriers sont déjà fixés : production du GLC au premier trimestre 2026, puis lancement de la Classe C EQ au deuxième.
    La nouveauté tient aussi à la flexibilité des lignes. À Brême, le GLC électrique sera assemblé sur la même chaîne que le GLC thermique, hybride et l’EQE. Une polyvalence qui illustre le cœur du projet. En Chine, l’usine de Pékin prendra le relais plus tard avec des versions à empattement long adaptées au marché local.

    La digitalisation au service de l’efficacité

    Les usines ont déjà franchi un cap. Grâce aux outils numériques, les nouvelles étapes de production sont testées virtuellement avant d’être intégrées. Résultat : un gain de temps et de coûts, sans interruption majeure des chaînes.
    Avec MO360, l’écosystème numérique du groupe, l’intelligence artificielle optimise les processus en continu. L’assemblage de véhicules thermiques, hybrides et électriques se fait désormais sur la même ligne, sans rupture. Cette convergence marque une avancée majeure dans l’organisation industrielle de Mercedes-Benz.

    Un réseau européen transformé

    Mercedes-Benz investit lourdement dans ses sites. Plus de deux milliards d’euros ont été consacrés aux usines européennes. Rastatt a déjà ouvert la voie avec le lancement réussi du CLA électrique, premier modèle basé sur l’architecture modulaire MMA.
    Brême, Kecskemét et Sindelfingen prennent désormais le relais. Tandis que Brême inaugure le GLC électrique, Sindelfingen se prépare à accueillir les futurs modèles AMG 100 % électriques, actuellement en phase de test.
    Le message est clair : l’Allemagne conserve un rôle central dans la stratégie mondiale de production. Brême et Sindelfingen deviennent les vitrines du savoir-faire Mercedes-Benz dans les segments Core et Top-End.

    Objectif : réduire les coûts et accroître la résilience

    La transformation ne concerne pas uniquement la technologie. Les coûts de production doivent baisser de 10 % d’ici 2027. Cet objectif sera atteint par une meilleure efficacité logistique, l’usage accru de l’intelligence artificielle et une transition vers les énergies renouvelables.
    La carte géographique évolue aussi. La part des pays à faible coût passera de 15 % à 30 % en deux ans. Une redistribution qui renforcera la compétitivité du réseau.

    Robots, cloud et intelligence artificielle : les nouveaux outils

    Mercedes-Benz prépare l’avenir avec des outils inédits. L’intégration au système MO360 et l’alignement sur MB.OS — la plateforme logicielle maison — assurent une production interconnectée, plus souple et plus intelligente.
    L’arrivée des robots humanoïdes, développés avec Apptronik, est déjà prévue dans les tâches d’intralogistique. Leur rôle : accompagner les équipes et optimiser les flux internes. Ici encore, l’intelligence artificielle se place au cœur de l’organisation, garantissant une montée en puissance stable malgré un environnement géopolitique incertain.

    Durabilité : un pilier de Next Level Production

    La stratégie industrielle de Mercedes-Benz ne se limite pas à la productivité. Elle intègre la durabilité comme axe prioritaire. Depuis 2022, tous les sites de production de véhicules sont neutres en carbone. D’ici 2030, plus de 70 % des besoins énergétiques devront être couverts par les énergies renouvelables.
    L’expansion des capacités solaires et éoliennes est en marche. À Papenburg, un parc terrestre est en cours de construction, complété par un parc offshore en mer Baltique. À terme, l’objectif est clair : 100 % d’énergies renouvelables pour tous les sites d’ici 2039.

    Une offensive produit pensée pour le futur

    Avec cette stratégie, Mercedes-Benz trace une ligne directrice. La structure des segments Core et Top-End guide la production des futurs modèles. Plus de 40 lancements en trois ans donneront le tempo de cette transformation.
    Next Level Production illustre l’approche Mercedes-Benz : un réseau industriel flexible, capable de répondre aux conditions de marché et aux attentes des clients, tout en garantissant innovation et durabilité.

    Le constructeur de Stuttgart ne se contente pas d’annoncer des modèles. Il redéfinit les règles de la production automobile mondiale.

  • Stellantis renforce son ancrage en Turquie : une visite stratégique de hauts responsables qui confirme de grandes ambitions

    Stellantis renforce son ancrage en Turquie : une visite stratégique de hauts responsables qui confirme de grandes ambitions

    Stellantis envoie un message fort. John Elkann, Président du Groupe, et Antonio Filosa, Directeur Général, se sont déplacés en Turquie cette semaine. Leur visite conjointe n’avait rien d’anecdotique. Elle réaffirme le poids stratégique du pays et souligne la solidité d’un partenariat historique avec Koç Holding. La Turquie, plus que jamais, devient un pilier pour le développement de Stellantis au Moyen-Orient et en Afrique.

    Bursa, le cœur battant de la coopération

    Les dirigeants étaient accompagnés de Samir Cherfan, responsable des opérations pour la région MEA. Ensemble, ils ont rencontré les équipes de Tofaş à Bursa. L’échange a mis en valeur le savoir-faire accumulé au fil de plus d’un demi-siècle.
    Cette coentreprise, née de l’alliance avec Koç Holding, reste une référence de l’industrie automobile turque. L’entretien n’a pas seulement salué l’engagement des collaborateurs. Il a aussi ouvert des perspectives concrètes : renforcer le marché local et développer de nouveaux débouchés dans la région MEA. L’idée, simple et ambitieuse, repose sur une continuité qui conjugue innovation et stabilité.

    John Elkann met en avant confiance et performance

    Pour John Elkann, la Turquie n’est pas un simple point d’appui. C’est un pays doté d’une capacité industrielle forte, d’un vivier de talents et d’un positionnement stratégique.
    « Notre partenariat repose sur la confiance, la performance et une vision commune », a-t-il déclaré. Trois notions qui traduisent l’esprit de la collaboration. Dans ses mots, la Turquie apparaît comme un moteur de croissance. Elle soutient le développement de Stellantis à l’échelle nationale et renforce l’empreinte régionale du Groupe.

    Tofaş, un demi-siècle d’ancrage industriel

    Depuis plus de cinquante ans, Tofaş illustre la réussite d’une coopération industrielle solide. Bursa s’impose comme un site clé, capable d’alimenter la demande locale tout en servant de base régionale.
    Les résultats récents confirment cette force. Les synergies entre Tofaş et Stellantis Türkiye ont produit des avancées significatives :

    • Un leadership sur plusieurs segments stratégiques.
    • Une croissance de 56 % des volumes en quatre ans.
    • Une gamme de produits profondément renouvelée.
    • Et une confiance accrue des consommateurs turcs.

    Ces chiffres parlent d’eux-mêmes. Ils traduisent la pertinence d’une stratégie qui associe vision à long terme et réponse rapide au marché.

    Antonio Filosa insiste sur l’agilité

    Antonio Filosa a lui aussi souligné l’importance du chemin parcouru. Selon lui, la dynamique repose sur une ambition claire : accélérer le développement dans la région MEA.
    « La Turquie joue un rôle central dans cette dynamique », a-t-il affirmé. Les mots choisis insistent sur l’écoute du marché, l’agilité dans la réponse aux attentes et la capacité à innover. Filosa ne parle pas seulement de production. Il évoque une valeur durable, destinée à renforcer la relation avec les clients et les communautés locales.

    Les collaborateurs au cœur du projet

    Cette visite avait également une dimension humaine. Elkann, Filosa et Cherfan ont tenu à rendre hommage aux équipes de Tofaş. Des ingénieurs aux services commerciaux, chacun joue un rôle déterminant. L’engagement, la passion et la compétence des collaborateurs expliquent en grande partie la réussite du partenariat.
    Pour Stellantis, ce capital humain constitue un levier majeur. La reconnaissance exprimée par les dirigeants ancre encore davantage la motivation et la cohésion.

    La Turquie comme pivot régional

    Avec cette visite, Stellantis ne se contente pas de confirmer un partenariat. Elle réaffirme une stratégie. La Turquie apparaît comme un pivot régional, un centre industriel et un moteur d’innovation.
    Le rôle de Tofaş, l’appui de Koç Holding et l’énergie des équipes locales forment un socle solide. Sur cette base, Stellantis vise une expansion rapide et durable au Moyen-Orient et en Afrique.
    Au-delà des annonces, le message est clair : la confiance bâtie depuis cinquante ans prépare un avenir ambitieux, où la Turquie occupe une place centrale dans le dispositif global du Groupe.

  • Citroën à la Formule E : les noms de ses deux pilotes connus

    Citroën à la Formule E : les noms de ses deux pilotes connus

    Citroën fait son entrée en Formula E et ne cache pas ses ambitions. La marque française s’aligne dans le championnat ABB FIA de monoplaces électriques avec deux pilotes d’exception : Jean-Éric Vergne et Nick Cassidy. Ensemble, ils forment un duo capable de bouleverser la hiérarchie et de placer Citroën parmi les prétendants sérieux dès la première saison.

    Citroën choisit la Formula E pour affirmer son identité électrique

    L’arrivée de Citroën dans la discipline n’est pas le fruit du hasard. La Formula E, disputée en pleine ville sur des tracés courts et exigeants, s’impose aujourd’hui comme le théâtre de la transition énergétique en sport automobile. Les constructeurs y confrontent leur technologie, mais aussi leur vision de la mobilité.
    En entrant dans ce championnat, Citroën fait un choix stratégique. La marque s’inscrit dans un projet global, celui d’un groupe Stellantis qui investit massivement dans l’électrique. La compétition devient ainsi un laboratoire grandeur nature. Chaque course offre des données, chaque tour de piste nourrit les ingénieurs, chaque performance contribue à l’image.

    Jean-Éric Vergne, l’expérience comme pilier

    À 35 ans, Jean-Éric Vergne incarne l’expérience. Champion de France de Formula Campus, puis de Formula Renault 2.0 en 2008, il a percé jusqu’en Formule 1, où il a couru pour Toro Rosso de 2012 à 2014. Mais c’est en Formula E qu’il a écrit les plus belles pages de sa carrière.

    Premier pilote à décrocher deux titres consécutifs, il reste une référence de la discipline. Stratège, régulier, précis dans la gestion de l’énergie, il a prouvé sa valeur face aux plus grands.

    En parallèle, il s’illustre aussi en endurance, engagé avec Peugeot TotalEnergies en FIA WEC. Cette polyvalence lui offre un regard unique sur la technologie et les réglages. Pour Citroën, Vergne représente plus qu’un pilote : il est un guide, un ambassadeur, une assurance de compétitivité immédiate.

    Nick Cassidy, la fougue et la régularité

    Face à Vergne, l’expérience. Avec Cassidy, la jeunesse affirmée. Le pilote néo-zélandais, 31 ans, incarne la nouvelle génération. Son parcours débute en karting, se poursuit au Japon, où il réussit l’exploit rare de la « Triple Couronne » : Super Formula, Super GT et Formula 3. Peu de pilotes ont une telle polyvalence.
    En Formula E, Cassidy s’impose très vite. Vice-champion en 2023, troisième en 2024, il enchaîne podiums et victoires, déjà onze succès et vingt-cinq podiums. Son style agressif, son sens de l’attaque et sa régularité en font un rival redoutable.
    Comme Vergne, il connaît aussi l’endurance. Son passage par le DTM et son implication au FIA WEC lui donnent une expérience élargie. Avec Citroën, Cassidy veut franchir un cap : viser le titre mondial et marquer une génération.

    Un duo taillé pour les sommets

    Vergne apporte la science de la course, Cassidy la fougue et l’instinct. Les deux pilotes se complètent. Ensemble, ils donnent à Citroën un équilibre rare. L’un sait gérer, l’autre ose tenter. L’un incarne la rigueur, l’autre la spontanéité.
    Cette combinaison fait la force du projet. Citroën peut compter sur deux personnalités différentes, mais animées par la même ambition. Leur complicité se renforce par leur engagement commun au sein du programme Peugeot TotalEnergies en endurance. Cette synergie technique promet un transfert de compétences direct et efficace.

    Un pari audacieux, mais prometteur

    Face à des équipes installées comme Porsche, Jaguar ou Nissan, Citroën devra prouver sa compétitivité. Mais la marque française dispose d’atouts solides. L’appui de Stellantis assure un soutien technique, les pilotes garantissent l’expérience et la vitesse, l’image bénéficie d’un coup d’accélérateur.
    Au-delà du sport, l’engagement en Formula E véhicule un message clair : Citroën croit en l’avenir électrique et le démontre sur les circuits les plus exigeants. Les fans, eux, attendent avec impatience les premières courses. Chaque départ sera une promesse, chaque arrivée un verdict.

    Citroën vise haut dès le départ

    Le retour de Citroën sur la scène internationale du sport automobile prend des allures de déclaration. En confiant ses volants à Jean-Éric Vergne et Nick Cassidy, la marque mise sur deux références mondiales. L’expérience du Français et l’audace du Néo-Zélandais construisent un projet solide et ambitieux.
    La Formula E gagne ainsi un acteur de poids. Les rivaux sont prévenus : Citroën ne vient pas apprendre, elle vient gagner.