Accueil Actualité Hartog et van Splunteren représentent brillamment la Porsche Carrera Cup Benelux

Hartog et van Splunteren représentent brillamment la Porsche Carrera Cup Benelux

Hartog et van Splunteren représentent brillamment la Porsche Carrera Cup Benelux

À défaut de course réelle pour cause de pandémie de COVID-19, plusieurs pilotes de la Porsche Carrera Cup Benelux ont profité de ce dernier week-end d’avril pour disputer des courses virtuelles officiellement organisées par les promoteurs des championnats concernés.

Samedi, Loek Hartog représentait ainsi la Porsche Carrera Cup Benelux dans la Porsche Mobil 1 Supercup Virtual Edition. Excellent 4e des essais qualificatifs sur le Circuit de Spa-Francorchamps, le jeune Néerlandais de 17 ans faisait d’emblée sensation dans un peloton regorgeant pourtant de stars, dont de nombreux pilotes officiels de la marque. Malheureusement, Loek se faisait percuter par Nick Tandy dès le premier passage par l’épingle de La Source. Sa 911 GT3 Cup virtuelle ayant été endommagée, le Junior de la Porsche Carrera Cup Benelux devait en rester là… et il s’élançait depuis la 25e position pour la seconde confrontation. Mais le lauréat du Porsche Junior Recruitment Programme faisait honneur à son #911 en s’offrant une fantastique remontée jusqu’à la 4e place finale, à un souffle de la plus petite marche du podium.

« J’étais évidemment très déçu après la première manche, mais par contre je me suis beaucoup amusé dans la seconde », sourit Loek. « J’ai pu effectuer quelques chouettes manœuvres de dépassement, notamment sur Nick Tandy et Laurens Vanthoor, les pilotes officiels Porsche. Il m’a manqué un tour pour viser vraiment le podium, mais peu importe. Bravo en tout cas à Porsche Motorsport pour l’organisation de cette Supercup Virtual Edition qui est parfaitement aux standards de la marque. Pour les pilotes comme pour le suiveurs, avec une retransmission de qualité, c’est vraiment une belle manière d’attendre la reprise des courses. »

Habitué de la Porsche Carrera Cup Benelux, le Team GP Elite a une fois encore joué les avant-postes avec son pilote de pointe, Larry Ten Voorde. Auteur de la pole position, le Néerlandais a terminé deux fois à la 2e place et il est toujours deuxième du championnat, deux points derrière le leader Ayhancan Güven, champion de la compétition Benelux en 2018. Autres pilotes GP Elite, Jesse van Kuijk (10e et 7e) et Max van Splunteren (7e puis abandon) ont aussi animé les débats.

Une deuxième place en Virtual Belcar Series

Le lendemain, ce même Max van Splunteren faisait équipe avec Loek Hartog pour la première épreuve de la Virtual Belcar Series sur le Circuit Zolder. Engagés dans la Classe 2 avec leur Porsche 911 GT3 Cup de 485 chevaux, les deux Néerlandais du TAG HEUER Porsche Carrera Cup Benelux E-Team se montraient les plus rapides de leur catégorie. « C’était super cool de représenter la Porsche Carrera Cup Benelux dans cette Virtual Belcar Series », s’amusait Max van Splunteren, le champion 2019 de la série. « J’ai beaucoup aimé la collaboration avec Loek. Nous avions vraiment un bon rythme et nous pensions avoir trouvé la stratégie parfaite en effectuant un ravitaillement rapide en fin de course. Mais il fallait au minimum deux changements de pilote. Nous avons donc dû refaire un autre arrêt et cela nous a coûté la victoire. La prochaine fois, nous lirons mieux le règlement. Mais peu importe : nous nous sommes beaucoup amusés ! »

La victoire est revenue à une équipe disputant habituellement le Porsche Endurance Trophy. La formation PG Motorsport s’est en effet imposée dans la Classe 2 alors que la plus petite marche du podium revenait à EMG Motorsport, autre équipe habituée aux compétitions Porsche dans le Benelux.

« En tant que Series Manager de la Porsche Carrera Cup Benelux et du Porsche Endurance Trophy, c’était amusant de se remettre dans une ambiance de compétition en coordonnant notre implication dans les deux courses virtuelles de ce week-end », sourit Olivier Aerts. « Loek et Max ont démontré une fois encore tout leur talent derrière un volant, même quand c’est dans le monde virtuel. C’est un bon palliatif. Mais eux comme nous n’attendent qu’une chose : pouvoir reprendre le chemin des vrais circuits pour retrouver l’ambiance des courses dans le monde réel. »

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