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dimanche, juin 29, 2025
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    Renault Mégane E-Tech restylée (2026) : un visage audacieux et inattendu !

    La Renault Mégane E-Tech, lancée au printemps 2022, n’a pas dit son dernier mot. Prévue pour durer jusqu’en 2029, elle franchira une étape importante en 2026 : celle du restylage de mi-carrière. Un lifting stratégique, pensé pour garder le modèle dans la course. Et surtout, une métamorphose esthétique plus audacieuse qu’attendue.

    Contrairement aux premières rumeurs, pas question de reprendre le museau du Renault Scénic. La berline électrique ne s’alignera pas sur son grand frère. Renault regarde déjà plus loin.

    Pas le style Scénic, mais la patte Clio 6

    Oubliez la calandre inspirée du Scénic E-Tech. Ce n’est pas le chemin retenu par les équipes de design menées par Gilles Vidal. La Mégane E-Tech restylée s’inspirera plutôt de la future Clio 6. Un choix assumé. Un tournant stylistique.

    Révélée en septembre 2025 au salon IAA de Munich, la Clio 6 inaugurera une signature lumineuse en losange. La Mégane adoptera ce même thème, dès son restylage l’année suivante. Capot, ailes et optiques effilées resteront inchangés. Mais la signature visuelle, elle, évoluera nettement. Plus marquée. Plus identitaire.

    Un clin d’œil au concept Emblème

    Ce losange lumineux n’est pas une surprise. Il a été annoncé dès octobre dernier, lors du Mondial de l’Automobile à Paris, à travers le concept Renault Emblème. Une étude de style qui, déjà, révélait les lignes futures de la marque. Extérieur comme intérieur.

    Renault entame un nouveau cycle visuel. Et c’est la Clio, modèle emblématique, qui ouvrira la marche. Histoire de rappeler que la R5 n’a pas volé toute la lumière à la citadine historique de la marque au losange.

    Nos clichés le confirment

    Les premiers prototypes camouflés de la Mégane restylée ont été aperçus sur route ouverte. Malgré les stickers couvrant toute la face avant, un détail ressort : les volumes lumineux en losange se dessinent déjà sous la bâche. Une signature visuelle que l’on retrouvera progressivement sur l’ensemble de la gamme.

    Le Scénic E-Tech profitera lui aussi de ce design revu, mais plus tard, vers 2028. Ce sera donc le Scénic qui ressemblera à la Mégane… et non l’inverse. Idem pour le futur Austral II, et pour la prochaine Mégane électrique, attendue sur une base partagée avec la Nissan Leaf de nouvelle génération.

    Des évolutions techniques aussi

    Ce restylage ne se limitera pas à l’esthétique. La Mégane E-Tech bénéficiera aussi d’améliorations techniques. Une première mise à jour est déjà intervenue en mars 2025. Mais la version restylée ira plus loin.

    Selon nos informations, Renault y introduira une nouvelle technologie de batteries « cell-to-pack ». Le principe : intégrer directement les cellules dans la structure du châssis, sans modules intermédiaires. Un gain de place immédiat, une compacité améliorée.

    Une autonomie en hausse, sans changer le châssis

    Dans le cas de la Mégane actuelle, pas de refonte structurelle. Cela coûterait trop cher. Mais en optimisant l’architecture interne de la batterie, les ingénieurs pourront augmenter la capacité tout en conservant le même encombrement. Résultat attendu : une autonomie améliorée, un usage plus confortable, et un argument fort face à la concurrence.

    En résumé

    La Mégane E-Tech ne se contentera pas d’un simple toilettage. Nouvelle signature lumineuse, batterie optimisée, identité renforcée… Ce restylage 2026 lui offre une vraie seconde jeunesse. Et la place résolument dans l’ère Renault d’après. Celle du losange lumineux, celle de l’efficience électrique, celle de la maturité stylistique.

    En 2026, la Mégane E-Tech changera. Nettement. Mais intelligemment.

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    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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