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mardi, avril 1, 2025
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    SKODA OCTAVIA 1.5 TGI G-TEC vainqueur 2020 classe moyenne de l’EcoMobiListe de l’ATE

    Avec l’OCTAVIA TGI G-TEC, SKODA a une fois de plus dominé la course dans la classe moyenne de la nouvelle EcoMobiListe de l’ATE. C’est la deuxième fois que l’OCTAVIA G-TEC remporte la victoire dans cette catégorie. L’EcoMobiListe évalue les nouvelles voitures de tourisme en termes d’impact environnemental et présente les modèles les moins polluants.

    La SKODA OCTAVIA 1.5 TGI G-TEC est équipée d’un moteur quatre cylindres 1.5 TSI de 96 kW (130 ch) qui peut marcher aussi bien au seul GNC qu’à l’essence. Si le réservoir de gaz naturel est vide, le système passe automatiquement en mode essence. L’OCTAVIA G-TEC, disponible exclusivement en version break et dans les lignes d’équipements Ambition et Style, permet d’atteindre une autonomie de 480 km dans une propulsion au seul gaz naturel particulièrement respectueux de l’environnement. Pour ce faire, trois réservoirs emmagasinent ensemble 17.7 kg de GNC (gaz naturel compressé). Un gros réservoir d’essence de 9 l permet de se déplacer dans les régions qui ne disposent pas de stations-service proposant du gaz naturel. La propulsion au GNC permet de réduire les émissions de CO2 d’environ 25% par rapport au mode essence et d’émettre beaucoup moins d’oxydes d’azote (NOx) et sans rejeter de particules de suie. La SKODA OCTAVIA TGI G-TEC à traction avant offre une alternative écologique aux carburants conventionnels et atteint la meilleure catégorie d’efficacité énergétique A sans compromettre le confort de conduite (boîte automatique DSG à 7 vitesses), les performances de conduite (accélération de 0 à 100 km/h en 10 s, vitesse maximale de 202 km/h) et la praticité.

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    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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