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lundi, avril 7, 2025
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    L’usine européenne de Suzuki de Hongrie a passé le cap symbolique des quatre millions de voitures produites

    Le 8 février récent a marqué un jalon important pour l’usine de Suzuki en Hongrie, située en Europe, avec la production de son quatre millionième véhicule. Ce site industriel est responsable de l’assemblage des modèles Vitara Hybrid et S-Cross Hybrid, qui sont exportés vers 123 nations, y compris la France. Située à environ 50 kilomètres au nord de Budapest, l’installation de Magyar Suzuki a débuté sa production en octobre 1992 avec le modèle Swift. Le franchissement du seuil des quatre millions de véhicules s’est produit 31 ans et 5 mois après le lancement de sa ligne d’assemblage, avec la production d’un Vitara Hybrid comme véhicule marquant ce cap.

    Au cours des plus de trois décennies de son fonctionnement, l’usine a produit une variété de modèles Suzuki, y compris la Swift, la WagonR+, la Splash, et actuellement, les Vitara Hybrid et S-Cross Hybrid.

    En tant que principal site de production de Suzuki en Europe, Magyar Suzuki fabrique des véhicules destinés à un marché global de 123 pays, en se concentrant particulièrement sur l’Europe et l’Amérique Latine. Les modèles Vitara Hybrid et S-Cross Hybrid vendus en France sont assemblés dans cette usine hongroise.

    APERÇU DE MAGYAR SUZUKI

    • Emplacement : Esztergom
    • Nombre d’employés : 2 900 (à la fin de mars 2023)
    • Production annuelle : 142 454 véhicules (en 2022)

    Chronologie des événements marquants :

    • Avril 1991 : Commencement des travaux de construction.
    • Octobre 1992 : Début de la production.
    • Octobre 2006 : Production du millionième véhicule.
    • Juillet 2011 : Deux millions de véhicules produits.
    • Avril 2017 : Trois millions de véhicules produits.
    • Février 2024 : Quatre millions de véhicules produits.

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    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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