Le trio est complet: après Clio et Arkana, Renault ouvre à présent ses carnets de commande à Captur E-Tech Hybrid. Captur, déjà disponible en version E-Tech Plug-in Hybrid, offre avec le «full hybrid» (sans prise de recharge) une autre alternative particulièrement pratique pour accéder au monde des voitures électrifiées.

La technologie hybride s’appuie sur une solution révolutionnaire qui a fait l’objet de plus de 150 brevets et bénéficie de l’expertise Renault en Formule 1 notamment en matière de récupération et régénération d’énergie. Le moteur E-TECH Hybrid repose sur une architecture hybride dit « série-parallèle ». Son avantage est multiple: elle offre le maximum de combinaisons de fonctionnement entre le moteur thermique et le moteur électrique et elle maximise la réduction des émissions de CO2 à l’usage.

La motorisation E-Tech Hybrid 145 ch est composée d’un moteur thermique 4 cylindres essence 1.6 nouvelle génération issu de l’Alliance. Ce dernier est adapté à la technologie hybride et il est doté d’un filtre à particules pour limiter ses rejets polluants. Sa puissance est de 69 kW (94 ch) et il est soutenu par de deux moteurs électriques – un «e-moteur» (36 kW) et un démarreur haute tension de type HSG (High-Voltage Starter Generator) de 15 kW. Renault Captur E-Tech 145 affiche ainsi une puissance de 103 kW (143 ch) du système et un couple maximal de 149 Nm à 3’600 tr/min. Résultat: un couple puissant, des performances remarquables (de 0 à 100 km/h en 10,6 s) et une consommation moyenne extrêmement modérée de 4,9 à 5,2 l/100 km ainsi que des émissions de CO2 de 109 à 116 g/km (en fonction de l’équipement, en cycle mixte WLTP). En termes de rendement énergétique, Captur E-Tech 145 se place ainsi dans la meilleure catégorie possible: la catégorie A.

L’ensemble fonctionne grâce à une boîte de vitesses multimodes innovante à crabots sans embrayage qui complète le groupe motopropulseur. L’association révolutionnaire des moteurs électriques et de la boîte à crabots permet d’optimiser et de lisser les passages de rapports. Cette architecture est synonyme de meilleur rendement énergétique et est également le fruit de l’expérience de Renault en Formule 1.

Comme sur un véhicule électrique, la batterie se regénère à la décélération et au freinage. Il est également possible de la recharger via le moteur thermique en utilisant, lorsque ce dernier tourne à son régime optimal, le surcroit de puissance thermique non utilisée pour faire avancer la voiture. Cette technologie offre ainsi un silence et un confort de fonctionnement tout en limitant les pertes d’énergie.