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vendredi, septembre 5, 2025
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    Stellantis Pro One domine le marché espagnol des utilitaires avec plus de 45 000 ventes en 2025

    Stellantis Pro One s’impose en Espagne comme acteur incontournable des véhicules utilitaires. Selon les données publiées pour les huit premiers mois de 2025, le groupe a enregistré 45 661 immatriculations, soit une part de marché de 36,8 %.

    Une avance renforcée en août

    Le mois d’août confirme la dynamique. Avec 4 035 immatriculations et une pénétration de 37,6 %, Stellantis Pro One et ses marques maintiennent une position dominante. Citroën, Fiat Professional, Opel et Peugeot contribuent toutes à ce succès collectif.

    Peugeot et Opel en forte progression

    Du côté des marques, Peugeot affiche une solide présence sur le segment des utilitaires électriques. La marque enregistre 16 660 immatriculations depuis janvier, représentant 13,4 % de part de marché. Opel, de son côté, signe une performance remarquable. Avec 7 643 unités écoulées depuis le début de l’année, la progression atteint 87,4 % par rapport à 2024.

    Citroën Berlingo, champion du marché espagnol

    Le modèle le plus plébiscité reste le Citroën Berlingo. Fabriqué dans l’usine Stellantis de Vigo, il domine le marché espagnol avec 9 629 immatriculations depuis janvier. En août, l’Opel Vivaro s’est également distingué en prenant la deuxième place de sa catégorie, avec 302 unités écoulées.

    Stellantis Pro One consolide son leadership

    En cumulant ses marques, Stellantis Pro One confirme sa position de leader absolu sur le marché espagnol des véhicules utilitaires. Une domination qui s’explique autant par la variété de son offre que par la capacité à répondre aux attentes des professionnels, qu’il s’agisse de solutions thermiques ou électriques.

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    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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