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mardi, juillet 1, 2025
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    Etude 2025 : Deux automobilistes britanniques sur cinq avouent une méconnaissance flagrante des véhicules électriques !

    Cinq ans avant la fin des ventes de voitures neuves essence et diesel au Royaume-Uni, une inquiétude subsiste : deux conducteurs sur cinq jugent leur compréhension des véhicules électriques et hybrides insuffisante. C’est ce que révèle une enquête commandée par PEUGEOT UK. Et les écarts sont nets : par âge, par région.

    À Londres, près de 49 % des conducteurs se disent bien informés. Dans l’Est du pays, ils ne sont que 12 %. Chez les 25-34 ans, presque la moitié affirme comprendre les véhicules électriques. Au-delà de 65 ans, moins d’un sur sept se dit à l’aise.

    L’étude a été menée début mai 2025, auprès de 2 000 conducteurs britanniques. 43 % d’entre eux avouent ne rien comprendre ou presque aux véhicules électriques. À l’inverse, seuls 23 % estiment posséder de bonnes connaissances, malgré un parc dépassant 1,5 million de voitures électriques.

    Par comparaison, la part des automobilistes disant bien connaître les voitures thermiques baisse : 61 % contre 67 % l’an dernier. La voiture essence reste donc mieux comprise, même si sa fin approche.

    Mais la confusion reste grande. Un conducteur sur cinq ignore que les voitures hybrides rechargeables ne sont pas des véhicules 100 % électriques. Pire : seuls 29 % savent qu’une voiture électrique peut se recharger de 20 à 80 % en moins de 30 minutes avec un chargeur rapide DC de 100 kW. En réalité, la PEUGEOT E-3008 Long Range atteint ce seuil en 27 minutes, avec un chargeur de 160 kW. Elle offre jusqu’à 435 km d’autonomie (WLTP).

    Et le fonctionnement des bornes reste flou pour beaucoup. 78 % trouvent l’expérience utilisateur confuse selon les opérateurs. Un frein de plus à la transition.

    Pour Nicola Dobson, directrice générale de PEUGEOT UK, la situation évolue mais pas assez vite :

    « L’électrification progresse. Mais les consommateurs ont besoin de clarté. C’est notre rôle de les aider à franchir ce cap. »

    La marque mise donc sur son engagement : la PEUGEOT ELECTRIC PROMISE. Au cœur du dispositif : la garantie PEUGEOT CARE pendant 8 ans, un accompagnement complet vers la mobilité zéro émission, et la plus large gamme électrique parmi les marques généralistes européennes.

    Un fossé entre générations

    Les jeunes comprennent mieux. Près de la moitié des 25-34 ans se disent bien informés. Chez les 65 ans et plus, ce chiffre chute à 13 %.

    Sur les temps de recharge, l’écart se creuse encore. Seuls 38 % des 18-24 ans savent qu’un VE peut atteindre 80 % en 30 minutes. Ce taux grimpe à 49 % chez les 25-34 ans. Et retombe à 21 % chez les seniors.

    Même constat pour les aides à l’achat. 47 % des jeunes adultes connaissent le Plug-in Van Grant. Seulement 23 % des plus âgés en ont entendu parler. PEUGEOT, elle, propose une gamme de fourgons adaptés :

    • E-PARTNER (jusqu’à £2 500 d’aide)
    • E-EXPERT et E-BOXER (jusqu’à £5 000)

    Des différences géographiques nettes

    À Londres, 49 % des automobilistes se disent bien informés. Dans l’Est, 12 % seulement. La capitale affiche aussi une meilleure compréhension des politiques publiques : 83 % des Londoniens connaissent le terme ULEZ (zone à très faibles émissions). Dans le Nord-Est, ils ne sont qu’un quart.

    Une promesse pour accompagner la transition

    Pour accélérer la bascule vers l’électrique, PEUGEOT met en place un accompagnement total :

    • Une garantie de 8 ans / 160 000 km sur le véhicule et la batterie
    • Un pass de recharge Free2Move, avec accès à plus de 700 000 bornes en Europe
    • Un suivi à long terme avec PEUGEOT CARE, la couverture la plus complète du marché

    En 2024, PEUGEOT a doublé ses ventes de véhicules électriques au Royaume-Uni. Sa part de marché électrique dépasse désormais sa part globale. Une transition bien entamée, mais toujours freinée par un manque de clarté côté grand public.

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    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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