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mercredi, avril 2, 2025
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    La Renault Sandero R.S. se balade à Paris !

    RenaultSport a publié sur son compte instagram une série de photos de la Renault Sandero R.S. autour de Paris ! Commercialisé sous la marque DACIA, Il n’y a pas d’équivalent en Europe pour la Renault Sandero RS, mais visiblement, celle-ci pourrait intéresser les clients en Europe.

    Sous son capot, un 2.0 16V de 150 ch et 205 NM, cette Sandero RS coute aux environs de 13400 €. Dans sa version 2020, elle s’équipe de nouveaux feux arrière à LED, de nouvelles jantes en noir diamant de 17 pouces, de nouvels inserts latéraux Renault Sport et d’étriers de frein rouge hérités de l’édition limitée Racing Spirit.

    D’autres caractéristiques extérieures distinctives pour cette Sandero RS, telles que le becquet de toit noir et la double sortie d’échappements. L’intérieur tire également parti des caractéristiques de la Sandero RS Racing Spirit, notamment la garniture de toit noir et les sièges à doublure rouges.

    Le 2.0 16V de 150 ch est associé à une boîte manuelle à six rapports, qui permet à la Sandero RS de parcourir le 0 à 100 km / h en 8,0 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 202 km/h. La suspension à réglage Renault Sport, la direction électrohydraulique et le système de freinage à disque aux quatre roues restent sont également au menu.

    La Sandero RS propose trois modes de conduite : Standard, Sport et Sport +, elle s’équipe également d’assistance au démarrage en côte, stabilité électronique ESP, anti-patinage, système d’infodivertissement Media Nav Évolution, climatisation automatique, caméra de recul, rétroviseurs à réglage électrique, vitres électriques, et régulateur de vitesse avec limiteur de vitesse.

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    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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