Le vice-président exécutif de l’ingénierie du Groupe Renault, Gilles Leborgne, demandera une prolongation de l’interdiction à l’échelle européenne des voitures équipées de moteur à combustion jusqu’en 2040, et ce dans le but de continuer à proposer des véhicules abordables alors que l’industrie se dirige vers des voitures propose mais plus chères.
En effet, le directeur de l’ingénierie du groupe Renault estime, dans une déclaration, publiée par Auto Express, que les voitures hybrides à moteur thermique pourraient encore avoir leur place au-delà de 2030, offrant une mobilité abordable pour de nombreux automobilistes.
La principale raison de la demande de prolongation aux yeux de Renault sera financière. La marque au losange admet qu’une telle prolongation permettra aux consommateurs de s’offrir de nouveaux véhicules.
La marque Dacia, appartenant au groupe français depuis quelques années, aura son mot à dire si cette requête sera éventuellement prise en considération, le cas échéant, le constructeur roumain aura un temps additionnel, pour creuser l’écart entre lui et ses rivaux. Ainsi, il aura le temps de dévoiler les princes héritiers, qui suivront les traces de la Spring, considérée, d’ores et déjà, comme étant le véhicule électrique le moins cher, notamment en Espagne, ou elle est disponible depuis mars dernier en deux finitions, à savoir Comfort et Comfort Plus. Les prix sont à partir de 16.548 euros et 17.621 euros, respectivement.