Citroën lance un programme pilote à Issoire (Puy-de-Dôme) pour remplacer les ralentisseurs dangereux par des modèles certifiés. Dès avril 2025, des communes rurales volontaires pourront candidater pour sécuriser leurs routes, dans la limite de 50 000 € d’ici fin 2025. Une démarche citoyenne qui prolonge l’engagement historique de la marque pour la sécurité routière. Focus sur une idée qui roule pour le bien commun.
Une Réponse aux Communes en Difficulté
Trop hauts ou mal signalés, de nombreux ralentisseurs ruraux menacent les usagers, mais leur mise aux normes pèse lourd. « Nos budgets sont limités », confie Bertrand Barraud, maire d’Issoire, où deux dispositifs conformes ont déjà été posés. Citroën étend ce test à d’autres villages, soulageant les finances locales tout en sécurisant les routes – 3 000 accidents liés à des ralentisseurs hors normes en France en 2024 (ONISR).
Des Ralentisseurs Made in France
Les nouveaux dispositifs, certifiés CEREMA, allient sécurité et qualité : béton blanc sablé pour l’adhérence, haute visibilité et fabrication française. « Une solution ingénieuse au service du quotidien », selon Édouard George, directeur de Citroën France. Face aux ralentisseurs artisanaux, ces modèles normalisés promettent une mobilité plus sûre, testée grandeur nature jusqu’à fin 2025.
Un Appel Ouvert aux Mairies
Dès le 4 avril, les communes rurales peuvent candidater via citroen.fr, jusqu’au 31 décembre 2025. Les équipes Citroën sélectionneront les sites prioritaires selon la dangerosité des installations actuelles. « Une initiative inclusive pour les territoires », ajoute George. Avec 500 ralentisseurs hors normes recensés dans le Puy-de-Dôme (source locale), l’impact pourrait être significatif.
Citroën au Service des Routes
Ce programme pilote allie pragmatisme et responsabilité : sécuriser les campagnes sans grever les budgets. Si l’expérimentation (50 000 €) convainc, elle pourrait s’étendre – 20 % des communes rurales concernées (INSEE). Citroën roule pour la sécurité et l’innovation, fidèle à son ADN. Résultat à fin 2025 : une idée qui freine les risques, pas le progrès.