Jeudi 5 mars, le Groupe Renault a été récompensé à l’occasion des premiers Trophées de la Mixité dans l’auto et la mobilité. Organisée par l’association WAVE (WoMen and Vehicles in Europe), la cérémonie avait pour but de valoriser les entreprises qui font de la mixité un véritable enjeu de développement dans leurs organisations.

A l’occasion des Trophées de la Mixité dans l’auto et la mobilité, cinq prix ont été décernés à des acteurs clés du secteur. Tristan Lormeau, DRH de Renault France, a reçu le premier de la soirée. Le Groupe Renault a remporté le Trophée Index Egalité Salariale Femmes-Hommes. Un index calculé chaque année – dans toutes les entreprises de plus de 50 employés – à partir d’indicateurs comme la rémunération, les augmentations ou encore la parité*. L’entreprise était également nominée pour le Trophée Féminisation Globale.

L’association WAVE (WoMen and Vehicles in Europe) – dont Renault est partenaire depuis sa création en 2008 – organisait cette cérémonie. Son objectif ? Faire connaître et promouvoir auprès des femmes les métiers de l’automobile et de la mobilité. En 2019, les femmes ne représentaient encore que 12% des salariés du secteur. Selon WAVE, accroître la mixité permet d’élargir l’éventail des talents et mettre à profit des spécificités différentes et complémentaires de celles des hommes.

Le prix reçu par Tristan Lormeau témoigne de l’importance accordée par Renault à la mixité femmes/hommes au Siège comme en usine ou en concession. La mixité demeure à la fois une source de richesse et de performance.

Dans cet esprit, Renault a lancé Women@Renault il y a 10 ans. Un plan d’action RH qui vise à améliorer la représentation des femmes à tous les niveaux de l’entreprise. Cette part ne cesse d’ailleurs de progresser depuis plusieurs années. Les femmes représentent actuellement près d’un quart des effectifs.

Women@Renault c’est aussi un réseau social interne, mixte et international, qui vise à faire évoluer les mentalités. Fort de ses 5000 membres (dont 25% d’hommes), le réseau permet d’échanger pour trouver les meilleures solutions en matière de mixité. En clair, une approche collaborative et non pas militante pour faire bouger les lignes.