back to top
jeudi 13 novembre 2025
Plus

    NIO accélère pour la bonne cause : 30 000 AED pour lutter contre le cancer du sein aux Émirats

    En octobre 2025, NIO, le géant chinois des véhicules électriques premium, a transformé chaque livraison de voiture aux Émirats arabes unis en un geste d’espoir. En partenariat avec la Fondation Al Jalila, bras philanthropique de Dubai Health, l’entreprise a reversé 30 000 AED – soit 1 000 AED par véhicule livré – pour soutenir la recherche et les soins contre le cancer du sein. Cette initiative, mêlant mobilité durable et engagement social, montre que NIO ne se contente pas de rouler vert : elle veut changer des vies.

    Un don qui roule : 30 000 AED pour la recherche

    Imaginez prendre les clés d’une NIO ES8 à Dubaï et recevoir, en prime, un certificat prouvant que votre achat aide à combattre le cancer du sein. C’est l’expérience qu’ont vécue les 30 clients de NIO en octobre. Pour chaque véhicule livré, 1 000 AED ont été versés à la Fondation Al Jalila, totalisant 30 000 AED (environ 7 500 €). Ce don soutient des projets concrets : recherches sur les thérapies ciblées, amélioration des soins ou encore dépistage précoce, crucial dans un pays où le cancer du sein représente 20 % des diagnostics de cancer chez les femmes, selon le ministère de la Santé émirati.

    Ce geste n’est pas anodin. Le cancer du sein touche 1 femme sur 8 dans le monde (OMS), et aux Émirats, les campagnes de sensibilisation et les infrastructures médicales, comme celles soutenues par Al Jalila, sont vitales. Les 30 000 AED pourraient, par exemple, financer une partie d’un mammographe mobile pour les zones rurales, un outil clé pour détecter la maladie tôt.

    NIO : au-delà des batteries, une vision humaine

    « Chez NIO, le progrès inspire l’espoir », déclare Roberto Lopes Da Silva, directeur général de NIO UAE. Cette phrase résume la philosophie de l’entreprise, qui va bien au-delà de ses SUV électriques futuristes (comme l’ET5, avec 560 km d’autonomie). En impliquant ses clients dans cette cause, NIO transforme l’achat d’une voiture en un acte solidaire. Chaque certificat remis est un rappel : conduire une NIO, c’est aussi soutenir la santé des femmes.

    Cette initiative s’inscrit dans un contexte où NIO UAE prospère, avec 30 livraisons en un mois, un record local. Alors que les ventes mondiales de véhicules électriques stagnent en 2025 (-10 %, selon Focus2move), dopées par la fin des subventions en Europe, les Émirats affichent une croissance de 12 % pour les VE. NIO, avec ses stations d’échange de batteries et son service premium, capte cette vague tout en se distinguant par son engagement social.

    Al Jalila : un partenaire pour changer des vies

    La Fondation Al Jalila, créée en 2013, est un pilier de la philanthropie médicale aux Émirats. « Ce partenariat avec NIO nous permet de financer la recherche et d’apporter de l’espoir aux patientes », explique le Dr Amer Al Zarooni, son PDG. Grâce à des programmes comme Majlis Al Amal, un centre de soutien pour les patientes, la fondation transforme les dons en avancées concrètes, de la formation de médecins à l’accès aux traitements.

    Une tendance qui gagne du terrain

    NIO n’est pas seul à marier automobile et responsabilité sociale. En 2025, alors que le Toyota RAV4 domine les ventes mondiales (2,1 millions d’unités), les constructeurs comme Tesla (dons pour l’éducation) ou BYD (projets verts) intègrent l’impact sociétal dans leur ADN. Mais NIO UAE, avec ce partenariat, pose un jalon : une voiture peut être un vecteur d’espoir.

    En novembre, mois de sensibilisation au cancer du sein, NIO rappelle que chaque kilomètre compte. Sur les routes des Émirats, ses véhicules ne transportent pas seulement des passagers ; ils portent un message d’humanité.

    Suivez-nous :

    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

    Articles connexes

    Top Actualité

    Nouveautés

    Articles Récents