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Clio Trophy France Terre : Jean-Sébastien Vigion s’est offert son premier titre !

Fort de trois victoires cette saison, Jean-Sébastien Vigion s’est offert son premier titre en formule de promotion en remportant le Clio Trophy France Terre. Également sacré Champion de France des Rallyes Terre deux-roues motrices, le pilote âgé de quarante ans revient sur sa riche carrière faite de hauts et de bas tout en se livrant sur les nouvelles générations le repoussant dans ses retranchements… Tant dans les spéciales qu’en son foyer !

Jean-Sébastien, comment avez-vous commencé le rallye ?
J’ai attaqué par le cross-car, où j’ai été vice-champion de France en 2002, avant de me lancer dans ma première formule de promotion pour finir meilleur Junior du Challenge Saxo Rallycross. En fin d’année, il y a eu la remise des prix. En remportant les catégories Juniors des Challenges Saxo Rallye et Saxo T4, Yoann Bonato et Guerlain Chicherit avaient gagné un volant pour l’année suivante. Pour ma part, je n’avais eu le droit qu’à une poignée de main de Guy Fréquelin. J’ai alors confié à mes parents qu’il fallait que je me débrouille pour faire du rallye, sinon j’arrêtais tout. Mon titre m’avait offert la possibilité de passer en rallye avec l’aide d’un kit et je suis arrivé dans cet univers en 2004. Je ne savais pas trop où je mettais les pieds. J’ai baigné dans l’autocross et le rallycross avec mon père, mais mes seuls souvenirs de rallye remontaient à mon enfance lorsqu’il m’avait emmené voir Jean Ragnotti lors d’une spéciale de nuit au Rallye du Limousin, un vendredi soir après l’école. Je n’y connaissais rien et les réseaux sociaux n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. Je ne savais même pas ce qu’était un pointage. Il a aussi fallu me faire un système de notes. Comme je jouais à la PlayStation à l’époque, j’ai fait un copier-coller : d’un à six, entre à fond et gros tournant, et me voilà parti !

Comment se sont passés vos débuts ?
Pour ma première spéciale, je fais le troisième temps sur quarante engagés au Rouergue. Tout le monde me félicitait, mais je ne comprenais pas trop ce que je faisais de bien ou de mal. Sur le routier, je me revois demander à mon copilote si le scratch était possible dans le test suivant, mais il m’a répondu que j’étais fou et que le rallye ne fonctionnait pas comme cela. Je gagnais tous les week-ends en rallycross, donc je me disais que je n’allais pas rester troisième… En fin de compte, je n’ai signé le moindre scratch, j’ai failli satelliser la voiture dans la nuit et j’ai fini par abandonner en raison d’un problème mécanique alors que j’étais cinquième. En fin de saison, mes performances et mes premiers scratches m’ont permis d’être élu Espoir Échappementmais avec le recul, c’était vraiment folklorique… Je me faisais trois chaleurs par virage !

L’expérience vous a visiblement plu puisque vous êtes toujours là, près de vingt ans plus tard !
J’avais surtout vraiment envie d’y arriver, mais je me suis un peu embourbé une fois élu Espoir Échappement. J’étais jeune, un peu isolé, sans trop de moyens ni de conseils. J’ai donc commis des erreurs, notamment dans mes choix de compétition. C’est pour cela que mon début de carrière est en dents de scie. J’avais aussi des stratégies discutables en ne visant que les scratches… Sauf que cela ne passait plus au bout d’un moment. J’ai tout de même persévéré et, de fil en aiguille, j’ai pu faire de belles choses par la suite.

Comme votre victoire en Coupe de France des Rallyes en 2008 ? 
Par exemple. Après cette première saison en coupe de marque, j’y reste en 2005 et 2006, mais je vivote un peu. En raison de mon manque de budget, je roule avec des pneumatiques d’occasion, donc les résultats escomptés n’étaient pas toujours au rendez-vous. Puis tout s’arrête en 2007. Je n’ai pas de programme, mais on me présente Jean-Pierre Lacorre, un entrepreneur de la région de Limoges. Celui-ci me prête sa Polo le temps d’un rallye, que je gagne en N2. Puis il l’échange contre une Clio N3, qu’il me confie pour le Rallye du Médoc. C’était ma première expérience avec une boite à crabots, je me prenais presque pour un vrai pilote… Et je m’impose pour la première fois au scratch, devant des kit-cars sur un terrain un peu humide ! Jean-Pierre me dit ensuite qu’il a ce qu’il me faut au garage pour l’étape d’après, à savoir une Clio Maxi en 2008. D’un simple rallye régional en début d’année, nous avons finalement disputé le Championnat de France et remporté la finale de la Coupe de France. C’était une superbe année avec cette Clio Maxi, une voiture d’enfer. Cela m’a véritablement permis de me relancer et de faire la saison 2009 avec une S2000, la grosse catégorie du moment.

Quelle est la suite ?
En dents de scie, à nouveau… Comme beaucoup le savent, je perds mon permis au Mont-Blanc. Après cela, je roule au coup par coup, sans vraiment de programme, si ce n’est le DS3 Trophy en 2012. Nous étions bien partis pour atteindre mon objectif de gagner une formule de promotion, mais la boîte de vitesses casse lors de la dernière manche au Var. Puis je repars pour des apparitions ici et là, avec quelques bons résultats, mais aucune campagne complète. Entretemps, j’ai aussi refait du rallycross, où je suis devenu vice-champion de France Super 1600 en 2017 et vice-champion de France Supercar en 2019.

Pourquoi avoir fait le choix du Clio Trophy France Terre cette année ?
Je crois que j’avais fait le tour du rallycross, mais nous avions une Clio. Les rallyes terre ne prennent pas trop de temps sur les obligations professionnelles et se battre à armes égales avec la même voiture est un aspect qui m’attirera toujours. Ma copilote Amandine Borderie était motivée et j’ai également repris goût à la terre lors du développement de Clio Rally3. Nous sommes donc partis aux Causses, sans aucune prétention. Je ne savais pas à quelle position m’attendre, ni à combien de secondes au kilomètres j’allais être… Et je n’ai pas fait un seul mètre d’essai comme je recherchais surtout du plaisir. Nous avons tout découvert sur place pendant le tour de reconnaissances !

Le fait d’avoir une relation particulière avec Clio Rally5 a-t-il joué ?
J’ai eu la chance de participer au développement de Clio Rally5, Clio Rally4 et Clio Rally3. J’ai vécu l’arrivée de Clio Rally5 comme un véritable renouveau. J’ai été l’un des premiers à la faire rouler sur terre en France, avec Florian Bernardi au Rallye Terre de Castine 2020. Nous avions gagné notre catégorie et fini deuxièmes chez les deux-roues motrices, derrière la Rally4 de Franceschi. Certains peuvent penser que cette voiture ne paie pas de mine à l’extérieur, mais c’est juste géant à l’intérieur. Ce n’est que du plaisir, que ce soit sur asphalte ou sur terre. Je savais donc que je m’amuserai et c’était surtout pour cela que je venais en Clio Trophy France Terre.

Et vous remportez les deux premières manches du calendrier…
J’ai voulu relativiser ma première victoire aux Causses. Le terrain était gras et cela fait quinze ans que je sais que j’arrive toujours à tirer mon épingle du jeu dans ces conditions un peu compliquées. Au Castine, Yannick Roche est exceptionnellement à ma droite et tout se passe vraiment bien. Nous attaquons fort d’entrée de jeu et nous l’emportons. Dès lors, je me décide à poursuivre la saison comme il n’y a que cinq épreuves. Il fallait quand même essayer d’être intelligent pour concrétiser. Et Aléria a été un vrai rappel à la réalité… Nous sommes partis en fanfaronnant un peu, mais le rallye reste un sport mécanique. Nous avons eu un souci le samedi, mais il faut savoir rentrer et prendre les points quand on ne peut pas gagner comme le dirait un certain champion de France des rallyes. Nous avons pris notre mal en patience, mais je l’ai mal vécu. Je n’aime pas rouler en spectateur comme cela a été le cas le dimanche, donc je suis arrivé avec les dents qui rayaient le parquet en Lozère. Et j’y ai peut-être réalisé mon plus beau rallye, en attaquant et en prenant un plaisir fou dans la voiture tout au long du week-end.

Le titre aurait-il pu vous échapper ?
Tout a été mis bout à bout en Lozère, mais le facteur chance a joué son rôle. Pour être sacré, je devais gagner tout en étant dans les cinq premiers de la Power Stage. Nous remportons la Power Stage, mais nous devions encore rallier l’arrivée… Dans la spéciale finale, nous avons une crevaison après huit kilomètres. Nous faisons les quinze derniers sur la jante. Forcément, je me dis à ce moment que tous nos efforts ont été vains, mais Matteo a un problème et d’autres concurrents crèvent au même endroit que nous, tout en perdant plus de temps puisqu’ils s’arrêtent pour changer la roue… L’attente était longue, mais j’ai pu réaliser que j’avais enfin gagné une formule de promotion !

Cette année, vous avez souvent confié avoir l’impression d’être un pilote âgé de vingt ans, mais avec vingt ans d’expérience. Qu’entendez-vous par là ?
J’ai enfin pu faire les choses comme je l’aurais aimé au début de ma carrière. À l’époque, je ne le pouvais pas pour différentes raisons, mais cela m’a libéré. Je pense aussi que je travaille plus à quarante ans que je ne le faisais à vingt. Les vidéos n’étaient pas si importantes pour ma génération, qui roulait davantage « au talent » pour reprendre l’expression. Par exemple, je scotchais le caméscope de ma mère sur le tableau de bord, mais je n’étudiais pas les images. Aujourd’hui, tu prends une valise si tu ne le fais pas. J’ai donc bossé plus que jamais sur cet aspect et cela a porté ses fruits.

Qu’avez-vous pensé des jeunes ambitieux qui vous talonnaient ?
Il y a une vraie vitesse parmi eux, notamment chez quatre ou cinq Juniors. Je suis conscient que mon expérience m’a aidé à faire la différence, car tu sais qu’il y a des moments où tu arriveras à prendre le dessus dans la construction des rallyes ou d’autres aspects après vingt ans dans ce sport. Cependant, ils ont affiché une vitesse pure incroyable. Cela m’a redonné le goût de l’attaque. Je me souviens de quelques spéciales que nous pensions parfaites, mais ils étaient tous là, et parfois devant nous. Je crois également que Clio Rally5 est tellement « permissible » que les nouvelles générations peuvent pousser fort en sécurité. Et il faut aussi rappeler qu’ils viennent pour se disputer le volant officiel en jeu. C’est pour cela qu’il y a beaucoup de jeunes pilotes performants et prometteurs et c’est ce qui fait le succès du Clio Trophy France Terre.

Est-ce une voiture avec laquelle vous auriez aimé commencer votre carrière ?  
Si je débute en rallye aujourd’hui, absolument. Mon conseil a toujours été clair : il faut passer par les formules de promotion. Nous l’appliquons d’ailleurs pour des jeunes en rallycross. Selon moi, c’est le passage obligé pour rouler, apprendre et espérer quoi que ce soit en sport automobile. Tout le monde a la même voiture pour jouer à armes égales et cette Clio est d’autant plus simple à exploiter, facile à conduire et extrêmement plaisante. C’est clairement le jouet idéal pour se lancer… Ou s’amuser, j’en suis la preuve !

Pourquoi avez-vous lancé Vigion Promosport ?
J’ai créé ma structure juste avant le Covid et tout s’est concrétisé en Championnat de France Junior de Rallycross, où quelques jeunes me demandaient du coaching. J’ai eu l’envie de développer l’idée en les intégrant à nos côtés. Tout est parti de là et nous avons terminé aux deux premières places du Championnat de France de Rallycross Junior l’an dernier avec Tom Le Jossec et Mathieu Fretin. Ce ne sont pas que des mots quand j’affirme que les formules de promotion sont un passage obligé. Nous y croyons et nous y passons pour aider nos protégés à grandir avant leur passage aux catégories supérieures. En rallye, la structure m’est davantage dédiée. Je suis assureur à la ville et je n’ai pas toujours le temps de faire les choses comme il le faudrait pour des clients. Je le fais donc pour moi, avec de la famille et des amis.

Le titre national en deux-roues motrices était-il la cerise sur la gâteau ?
C’est vraiment une saison de rêve alors qu’elle n’était pas prévue une semaine avant le Rallye Terre des Causses. Finalement, je remporte le Clio Trophy France Terre et le Championnat de France des Rallyes Terre deux-roues motrices. Pour sceller cette couronne, je suis allé au Vaucluse, où j’ai eu tous les problèmes possibles et imaginables. C’était comme si tout ce que je n’avais pas eu durant l’année s’était réuni sur cette épreuve. Nous savions pourquoi nous étions là et nous avons tenu bon même si l’ambiance du trophée m’a manqué. Ce deuxième titre est venu récompenser le travail de toutes les personnes qui m’ont aidé et qui m’entourent. J’en profite pour leur adresser un immense merci comme je n’aurais pas pu faire cela sans eux.

Comment se présente la suite et que peut-on vous souhaiter ?
Nous savions que le seul volant en jeu reviendrait au meilleur Junior, et je trouve normal qu’il faille laisser la place aux jeunes qui poussent derrière nous. De mon côté, j’évalue mes options pour 2024. Dans un monde idéal, j’aimerais être au volant d’une Rally2. Des pilotes de ma génération régalent avec ces voitures, comme Yoann Bonato sur l’asphalte, mais ces programmes sont compliqués à monter. Il y a l’envie de faire quelque chose sur la terre en quatre-roues motrices, mais je réfléchis aussi au Clio Trophy France Asphalte, car je pense que cela pourrait être amusant. J’en avais parlé dans la foulée de mon titre en Lozère et je regrette de ne pas avoir pu aller au Cœur de France même si je ne peux pas être partout, hélas. Et puis mon fils pousse pour attaquer le kart l’année prochaine. Je n’ai donc plus trop le droit à l’erreur. Il a commencé à enlever mes coupes des étagères pour mettre ses premiers petits trophées. Je crois que le message est passé, donc je vais devoir faire des choix vraiment pertinents !

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Faris Bouchaala
Faris Bouchaala
Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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