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lundi, mars 31, 2025
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    Abarth envisage d’intégrer la 600e, une version dérivée de la nouvelle Fiat 600 électrique

    Abarth inaugure une nouvelle ère avec son premier modèle entièrement électrique. Bien que reconnue comme une marque distincte au sein de Stellantis, Abarth propose essentiellement des versions sportives de Fiat. Sa première incursion électrique est une variante dynamique de la 500e.

    L’attention se porte désormais sur la 600e, le récent SUV urbain électrique de Fiat, présenté en début de juillet et attendu en showroom à l’automne. Olivier François, à la tête de Fiat et Abarth, n’a pas formellement annoncé une version Abarth de la 600e, mais suggère que c’est une démarche qui serait « cohérente ».

    Il est envisageable que la transformation de la 600e suive celle de la 500e, avec potentiellement un esthétique distinctif, des jantes de dimension supérieure et la substitution des logos Fiat par ceux d’Abarth.

    On s’attend bien évidement à une augmentation de la puissance pour la 600e. Sur la 500, elle est passée de 118 ch à 154 ch. Cependant, la 600e offre déjà 156 ch dans sa version standard. Il serait logique d’espérer quelque chose autour de 200 ch. Une spéculation gagne en popularité : le modèle pourrait adopter une traction intégrale en utilisant les technologies du Jeep Avenger. Jeep a effectivement annoncé le lancement d’une version 4×4 de son petit SUV. L’introduction d’un second moteur pourrait rendre les roues arrière motrices, ce qui augmenterait la puissance et la traction de l’Abarth.

    Cependant, la capacité de la batterie ne devrait pas augmenter, restant à 54 kWh. Cela pourrait réduire son autonomie, qui est actuellement de 400 km pour la 600e standard. On s’attend à voir cette version très probable de l’Abarth circuler d’ici 2025.

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    Faris Bouchaala
    Faris Bouchaala
    Journaliste Automobile - Rédacteur en Chef Adjoint
    Grand passionné d’automobile depuis mon enfance, mon objectif au quotidien était de trouver le moyen d'arracher le volant à mon père. Très peu de gens ont la possibilité de transformer leur passion en une carrière, et il se trouve que je suis l'un de ces quelques privilégiés. J’ai rejoint la presse spécialisée en 2010, après un parcours totalement loin du domaine, car au final c’est la passion qui l’emporte.

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