En dépit de son statut indétrônable comme étant le best-seller des véhicules à prix d’ami en Europe, et ses résultats commerciaux en constante progression, la marque roumaine a vu sa fiabilité remise en questions !

La Justice française a ordonné le groupe français de communiquer un certain nombre de pièces essentielles à la poursuite de l’affaire et à l’indemnisation des 1700 victimes, rapport nos confrère du site Actu.fr. Cette affaire, connue sous le nom de Motorgate, remonte à 2019, ou un grave défaut dans les moteurs de 400 000 voitures a été détecté, ce dernier pouvait conduire à la casse du moteur. Les marque pointées du doigt étaient : Renault, Nissan, Dacia. Les moteur concernés par ce dysfonctionnement ont été fabriqués entre 2012 et 2018. Aujourd’hui, l’affaire refait surface, lorsque la justice française a donné une première raison d’y croire aux 1700 victimes impliquées, rapport la même source.

Par ailleurs, durant le dernier trimestre de l’année écoulée, Dacia avait lancé une campagne de rappel de son premier modèles électrique Spring, et ce, suit à un éventuel défaut de rétracteur sur la ceinture de sécurité. Les occupants de la Spring risque alors de ne pas être suffisamment retenu en cas d’accident. Ce défaut, connu par Dacia sous le nom de référencé 0DYJ, concerne les exemplaires sortis de chaîne entre le 26 avril et le 4 octobre 2022. Environ 9 000 véhicules ont été livrés en France.

Rappelons que par le passé, un nombre de propriétaire de DACIA ont contacté le site allemand ‘EFAHRER.com’, pour rapporter leur expérience avec un dysfonctionnement lié au système de chauffage de la Dacia Spring, connu chez Dacia, depuis juin 2022, sous le numéro de dossier « Aktis 76394 » : Selon leurs informations, le chauffage ne fonctionne pas après le démarrage sans aucune raison reconnaissable. Quand le problème se produit, l’économètre de la Spring n’affiche que trois barres bleues après le démarrage au lieu du niveau de charge réel, puis tout le système de climatisation tombe en panne.