Plusieurs salariés de Dacia ont manifesté leur mécontentement. Détails !

Les salariés en question déplore les conditions de travail au sein de l’usine de Mioveni, en Roumanie, rapporte le site roumain ziartopdearges.com. Ces derniers affirment qu’ils travaillent à des températures très basses et lorsqu’ils demandent simplement que le chauffage soit allumé, ils se heurtent au refus de leurs supérieurs, au motif que cela entraînerait une augmentation des coûts. Ces ouvriers expriment leur mécontentement et affirment qu’ils risquent de tomber malade en travaillant à basse température.

Rappelons, par ailleurs, que L’usine Renault Trucks a fermé ses portes après une intoxication à Saint-Priest, décembre dernier. En effet, l’usine Renault Trucks à Bourg-en-Bresse a cessé ses activités ce lundi 4 décembre à la suite d’un cas d’intoxication. La fermeture fait suite à un incident de monoxyde de carbone survenu dans une autre usine du groupe, a rapporté radioscoop.com.

Des secours ont pris en charge plusieurs employés du site Renault Trucks à Saint-Priest, dans la Métropole de Lyon, les transportant à l’hôpital. Une intoxication mystérieuse au monoxyde de carbone en est la cause. Des enquêtes ont été ouvertes pour en déterminer l’origine.

Le groupe français a été également pointé du doigt dans l’affaire des moteurs défectueux de Renault, qui concerne des centaines de milliers de véhicules vendus entre 2012 et 2016. Une collective contre Renault, engagée par des dizaines de propriétaires de véhicules équipés de moteurs 1.2 TCe, est toujours en cours. Cette action, qui vise à obtenir une indemnisation pour les préjudices subis par les plaignants, est menée maitre Christophe Léguevaques, qui considère avoir remporté une victoire partielle. Par conséquent, si Renault est reconnu coupable, il pourrait être condamné à payer des indemnisations importantes aux plaignants, ce qui pourrait avoir un impact négatif sur ses finances.