Dès son lancement en Asie, l’Hyundai Casper avait enregistré des chiffres records en matière de commandes. son arrivée en Europe n’est pas totalement exclue, puisque le modèle a pour objectif de concurrencer certains modèles électriques du même segment, on parle surtout du Dacia Spring, qui présente, grace à son rapport qualité-prix le modèle le plus concurrentiel du marché de l’électrique en Europe.
Le Hyundai Casper ne tire pas son nom du fantôme sympathique bien connu des films d’animation et des bandes dessinées, mais d’une technique de skateboard freestyle inventée dans les années 1970 par Bobby ‘Casper’ Boyden. Son look est essentiellement conçu pour toucher un public jeune.
Le Hyundai Casper est plutôt simple à l’intérieur; certains peuvent même considérer le tableau de bord du Casper comme quelque peu rétro. La conception de l’intérieur et du tableau de bord est simple, avec un système d’infodivertissement à écran tactile de 8,0 pouces au centre. Il y a un écran LCD de 4,2 pouces pour l’affichage d’instrumentation, et le levier de vitesses lui-même est intégré dans la console centrale, libérant ainsi de l’espace à l’avant.
Le Hyundai Casper ne mesure que 3595 millimètres de long, qui peut transporter des objets jusqu’à 2 mètres de long, une option qu’on ne trouve pas forcement dans des gabarits plus grands. Son coffre, quant à lui, assure jusqu’à 301 litres de capacité de charge. Tout comme le Bayon est basé sur le Hyundai i20, le Casper est basé sur le Hyundai i10. Le SUV a été lancé sur le marché asiatique – en plus de son pays d’origine, la Corée du Sud. Le Casper veut surtout marquer commercialement en Inde.
Le Hyundai Casper est donc basé sur la plate-forme K1 du groupe Hyundai sur laquelle reposent également la i10 et la Kia Picanto. Il s’anime par le trois cylindres 1.0 atmosphérique et un tout aussi grand T-GDi de 100 ch, couplés à une boîte manuelle à cinq rapports ou à une automatique à cinq rapports.